Dans l’azur du ciel, des êtres de plumes et de couleurs,
Les oiseaux, joyaux vivants, danseurs du vent en labeur,
Leurs formes variées, leurs plumages chatoyants,
Comme une palette céleste, un enchantement.
Le rouge-gorge, timide et tout de pourpre vêtu,
Un cœur vibrant de mélodies, d’amour éperdu,
Ses ailes, petites merveilles, évoquent un feu doux,
Éclats d’émotions dans la nature, bijoux.
Le paon, majestueux, éventaille ses plumes,
Un écran vibrant de couleurs, une symphonie en l’air résume,
L’orgueil de sa parure, une toile en perpétuelle création,
Là où l’art et la nature se rejoignent en contemplation.
Le colibri, minuscule, iridescent bijou ailé,
Telle une émeraude vivante, un éclat étincelé,
Il dessine l’infini dans l’espace restreint,
Un battement d’ailes, une danse, un doux refrain.
Le cygne, élégant, se reflète en blanc pur,
Un poème silencieux dans le miroir de l’azur,
Ses courbes gracieuses, sa grâce légendaire,
Un ballet nuptial, une romance à l’envers de l’air.
Les oiseaux, créations de la nature, chefs-d’œuvre ailés,
Leurs couleurs et leurs formes, destins entremêlés,
Dans le tableau du ciel, ils peignent leur histoire,
Un hymne à la vie, à la beauté, à la mémoire.
Que l’on contemple leur vol dans l’infini ciel,
Ou que l’on écoute leurs chants, doux appels,
Les oiseaux, messagers de la nature, éclairent nos jours,
De leurs couleurs et de leurs formes, de leur amour.
Dans l’atelier secret de l’âme créatrice,
Sous le doux éclairage d’une lueur rêveuse,
Le crayon glisse, s’anime, danse en harmonie,
Pour donner vie à une forme, à une mélodie.
Dans le silence, la mine effleure le papier,
Comme un premier baiser, un soupir caché,
Elle laisse derrière elle une trace légère,
Le point de départ d’une aventure sincère.
Le crayon se fait complice, guide du geste,
Il épouse l’imagination, muse modeste,
Les traits s’entrelacent, se croisent, se cherchent,
Tissant un récit, une histoire qui s’épanche.
Lentement, la figure se dessine, se dévoile,
Comme un secret précieux, une douce étoile,
Les courbes prennent sens, les contours se font chair,
L’artiste devient créateur, souffleur d’air.
Les ombres naissent, les contrastes se dessinent,
La magie de l’art, le plaisir qui fascine,
Chaque trait révèle un peu plus de l’âme,
Comme une fenêtre ouverte sur une autre trame.
Et soudain, la figure apparaît, révélée,
Un sourire timide, une beauté réchauffée,
Le plaisir de créer, d’offrir une seconde vie,
À une idée, une vision, une mélodie.
L’artiste contemple son œuvre, satisfait,
Le crayon a tracé la voie, le reflet parfait,
Dans ce jeu de lignes et de formes, il se perd,
Et le plaisir de créer demeure, éternel et sincère.